Nous avons quitté Belorado (le Belforatus, le « bien percé », d'Aimery Picaud, dans le Guide du Pèlerin.) vers 7 heures 30.
Nous avons fait une pause pour faire sécher la tente dans les bois.
Après 27 km, à l'arrivée, j'ai revu mon copain espagnol que j'avais rencontré pour la première fois à Belorado. Il poussait un petit caddy de sa fabrication.
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