dimanche 20 mai 2012

Le troisième jour

 Le troisième jour, ne nous trouvant pas en bonne forme physique, nous fûmes à un village tout proche qu’on nomme Zubiri, où nos pieds maltraités nous firent rencontrer un pèlerin français original, qui, tandis que nous buvions notre cervoise, se saoulait. Toute l'ivrognerie du monde était enfermée dans cet homme : la tenait-il de sa nature ou l’avait-il endossée avec son habit de pèlerin.



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